Jil Caplan Tout c’qui nous sépare
Pas les mots en ce moment, la chaleur sans doute, tout est peut être bien fondu en moi, reste-t-il un coeur à écrire ? ou à décrire ? le texte superbe et cette voix le disent mieux que moi...
Pas les mots en ce moment, la chaleur sans doute, tout est peut être bien fondu en moi, reste-t-il un coeur à écrire ? ou à décrire ? le texte superbe et cette voix le disent mieux que moi...
Dites moi un autre mot ,que le vide n’est pas d’en haut, dites moi que le souvenir est un piège. Peut-être. Que le vent souffle vers toi comme vers moi, que tu n’es pas autre chose qu’une marchande de mort, oui toi ! Cette putain ! cette vie ! qui bouffe la joie comme si c’était de la viande, et qu’elle n’était qu’une avaleuse. Dites moi que tout ces humains valent le peu…
Je pose ici ce texte que j’avais gardé, elle vient d’effacer son blog, et je vous le dit, c’est bien dommage, tout s’enfuit, tout s’enfuit
mais le talent reste, alors je partage avec vous ces quelques mots d’elle, et mes amis, une pensée pour cette artiste , elle a besoin du soutien de tout ses amis !
Je rajoute au fur et à mesure, les commentaires de Isa-B à la suite de ce post.
J’ai besoin de murmures
Ceux qui appellent
En dedans
Des outrages dermiques
Un château de sable
Dans les chimères d’une aurore
Bercée d’auréoles
Me rapprochant de tes ciels.
Cette géographie de mon corps
Périple qui se tord
Cette arcade de quiétude
Le baldaquin de mes silences
Le drap tiédi d’indécences
Parcourant la bâtisse
Celle de ta matière
Fusionnant notre élixir
Fondus de nos soupirs.
Pénètre dans cette nuit ébénacée
Archer de pluriels
Course chevaleresque
De Braises et de tendresse.
Ton passé et tes morts
N’effleuraient même pas
Ta grammaire en ces jours…
Aujourd’hui mon Amour
Exhalant
Une bagatelle
Exultée
D’évasions libérées.
écrit le 12/03/09- IsaBersée.
Comme beaucoup je suis sidéré, cette guerre comme toutes les guerres d'ailleurs tue plus de civils que de militaires, les gens sont pris entre deux feux et c'est intolérable de voir ces femmes, ces enfants, ces hommes, tous en sang, horrifiés, que pouvons nous faire ? Déjà ouvrir les yeux, et pousser à la paix avec nos maigres moyens Sur le site d'Avaaz, signons tous la pétition Sur le site de Viviane, un…
Ce que nous appelons « terre d’exil » est souvent « terre promise » à laquelle manque notre attention. S’il faut revenir quelque part, revenir à ce qui est, il n’y a pas d’autre chemin que l’attention, que celle-ci soit sensible, affective, intellectuelle ou spirituelle… « Les biens les plus précieux ne doivent pas être cherchés mais attendus » : c’est de la qualité de notre attente ou encore de notre désir que…
Moon Kissed -- Endymion by Arthur Wardle RBI RBA, 1864-1949. Ce n'est pas facile de raconter de telles choses. De partager les moments les plus intimes, les plus sacrés. Mettre cela en mots ressemble à une espèce de viol. Ne pas le faire, c'est un mensonge. Voir et sentir sa bien aimée nue pour la première fois, c'est l'une des épiphanies pures et irréductibles de la vie. S'il existe une véritable…
Le Titien Sarah avais des paroles étranges qui s'inscrivaient doucement dans le corps et le coeur de Myriam. S'il y a des guerres : c'est que les hommes et les femmes ne s'aiment pas. Nous les femmes, notre mission c'est de faire des hommes des dieux, sinon ils redeviennent des bêtes et se retournent contre nous, il nous faut donner de l'âme à leurs sens, de l'esprit à leur corps, sinon leur vie…
Image via Wikipedia La Terre ce mausolée combien de morts pour se découvrir un coeur combien de mots pour que le rêve devienne l'or de demain Utopia comme allumeuse de rêve-rbère Jean Ziegler chantre de la faim parleur haut du monde et combien de femmes pour pleurer sur les reins du Frontex pour le faire rouiller, couler, pour dire au monde que le chemin ce n'est pas la course en avant non le…
Elle me parlait d'une pulsation, un mouvement de l'inconscience, et là VLAN Plein dans la gueule, le loup qui s'écrie au fou, qui te colle au trou, qui se ne voit pas fou lui non mais Voyez-vous, vous, vous !! même et encore vous ! C'est dans l'œil dans le regard qu'il lui impose son cœur, cuisant les mots trop crus, dans un geste pré-digestif ennemi, et comme il s'en tape, comme il…
Et si nous vivions nu dans un vieux rêve. Le message est plus sociétal que langoureux, le message est funeste au regard du monde tel qu'il est, de cette France salie, de son peuple ignoré, "indifféré", où se posera le puits de la révolte quand dans nos coeurs on ne pourra plus creuser ? Je ne fais que rajouter quelques mots à ce qui se dit ailleurs, si beaucoup de sites, et sur…